L’arroseur à rosser !

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6 réflexions au sujet de « L’arroseur à rosser ! »

  1. Sacré bon sang ! V’là que les deux sont de retour !
    *se retournant vers la vallée*
    OYEZ, braves gens ! Gentes dames ! Que ceux qui l’savent pas écoutent : Les deux gars d’Âpretagne sont rev’nus au pays, cachez les bières et tonnelets et sortez la cire à oreilles, ils ont toujours la p’tite !!

    *approchant des marcheurs*
    Holà, compagnons ! De retour pour de bon, alors ? De quoi allez-vous nous abreuver comme histoire cette fois ? Quelques aventures dans le sud ou un repos de guerrier entre deux quêtes, peut-être…
    Euh…Messire Oxymore ? J’ai beau chasser seulement la futaie, je ne suis pas sûr que l’on appâte le troll dans cette position…ou une trolle, peut-être…
    Enfin bref. Bon retour à vous deux !

    • « Messire » ? MESSIRE ? J’ai l’air d’un grouillot bourgeois ? Un vulgaire seigneur d’une quelconque fange que vous appelez domaine ? La chevalerie à bon dos ! Un peu de respect quand tu t’adresses au Prince d’Âpretahgne, sombre manant, j’en ai taloché plus d’un pour moins que ça. Et en plus je ne suis guère d’humeur… Tu m’appelleras Majesté ou par les couilles de mon père, je te ferai remonter la vallée attaché par les pieds à une tripotée de bourrins !

      • Fort bien, MAJESTÉ, je vous appellerai comme il sied, SIRE, mon but n’était point de vous offenser, VOTRE MAJESTÉ !!
        Il est vrai d’ailleurs que j’ai lu quelques feuillets attestant votre rang, SIRE… mais , c’est étrange, il me rappelle avoir vu un autre titre accompagnant le vôtre… quelque chose comme…. « déchu », il me semble…. Har ! Sans doute une erreur, pardonnez au fol… MAJESTÉ !
        Et comme il serait malséant pour un manant tel que moi de toucher un aussi auguste personnage de mes mains de vulgaire bûcheron, je ne peux que vous laisser là pendu par les c..les pieds, et m’en aller chercher ma hache pour vous…aider à descendre. D’ailleurs votre ami est loin, parti qu’il est à cette grotte chercher votre fille.
        Bonne idée, n’est-ce pas MAJESTÉ ?

        • « De la bourdaine ramoleuve, mon fifs ve vous ai enfin trouvé votre bourdaine ramoleuve ! », ainsi surgissait le Père Niffieux qui, faisant fi de la conversation, interrompait l’échange en tenant entre ses doigts une poignée de feuilles fraîchement récoltées.

          « Il f’agit d’un puissant laxatif qui faura mettre fin à vos problèmes de conftipation chron…

          Mavesté ? Que dites-vous là mon fifs ? On ne f’adreffe pas ainsi à un prinfe voyons ! Votre alteffe suffit amplement ! Ou meffire à la rigueur, puisque notre vaillant prinfe est là en qualité de fevalier… Mais fûrement pas mavesté ! »

          Bien entendu, le fait que Van soit pendu à un arbre ne semblait ni l’émouvoir, ni l’étonner plus que ça.

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