Si j’avais su… J’aurais pas v’nu !

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Nous tenons également à remercier tout particulièrement Simon pour le nom de la Taverne d’aujourd’hui et Yop! pour celui de la lotion !

23 réflexions au sujet de « Si j’avais su… J’aurais pas v’nu ! »

  1. « 10 contre 1 qu’il s’est fait rouler, le Van ! Un mélange de pisse d’âne et de guano ! » *entend-on des tréfonds de la Taverne.*

      • *hausse le ton, plus insistant et plus mielleux*
        Si vous voulez un vrai truc contre les boutons, frottez-vous la peau à l’ail, et passez par dessus de l’eau de rose, pour masquer l’odeur. De toute façon, en terme d’odeur… ça peut point êt’ pire que c’que vous avez là !

        *sort d’une poche quelques petites fioles*
        Eau de rose, deux pièces d’argent la fiole. Pour deux achetées, une fiole de décoction de millefeuille offerte. Contre l’excès de sébum, j’ai de l’extrait huileux de bergamote, à moitié prix. Seulement cinq pièces d’argent la fiolette.

        • *zieute avec dédain les bouteilles de l’autre chieuse*

          Le vieux Dexeryl -de la Communauté des Apothicaires- m’a paru bien plus honnête -quoi qu’un peu expéditif- que vous et vos mixtures. Pardonnez du peu, il m’a vendu tout son stock de Jouvence pour un prix ridicule -voire les détails avec Faust, je n’ai pas compté, c’est lui qui tient les cordons de nos bourses-. Rendez-vous compte, c’étaient les dernières bouteilles de la région ! Il a même accepté de rester ouvert après l’heure pour pouvoir me servir.

          Le brave homme -que ma générosité a sûrement épuisé- s’est ensuite empressé d’aller se coucher. A son âge, c’est plus sûr !

        • *haussement d’épaules désabusé*

          Moi au moins, j’annonce la composition. Alors que lui, j’parie qu’il vous a vendu un élixir secret, une recette miracle, un brouet infâme !
          Vous enlèveriez le bleu, là, qu’on voie ? J’vous parie tout ce qu’vous voulez que ça vous aura poussé plein de pustules d’ici demain.

          Mais avec ma purée d’ail, vous en viendrez facilement à bout, et je vous ferai un prix d’ami.

          *wink wink*

          • SURRRRTOUT PÂÂÂS ! Je dois laisser agir la décoction pendant une nuit et trois jours ! -Ou est-ce trois jours et une nuit ?- C’est PRRRIMORDIÂÂÂL !

            Je vais donc rester dans ma chambre le temps que cela fasse effet, de peur que les badauds hurlent à la Croisade en voyant mes couleurs ainsi affichées.

            Sur ce, je vous laisse !

            *VLARM !*

            • *Rouvre la porte dans un même élan*

              Quant à vos insinuations sur l’intégrité du vieillard, je les trouve fort déplacées. Ce pauvre homme n’étant même pas céans pour se défendre ! Je l’aurais bien fait mander pour qu’il vous fermât le clapet, mais je viens d’apprendre qu’il avait fermé boutique. Voilà qui est bien mal à propos. Il devait être malade, le brave bougre…

              Sur ce, je vous laisse !

              *REVLARM!*

  2. *La guerrière se marre à en recracher sa bière par le nez en voyant le blondinet* Oh bon sang! Effectivement, avec ça sur le visage, on ne voit plus rien d’autre, ça marche du tonnerre!! *huhuhu*

    • Ma chère, j’eus aimé vous voir sur le champ de bataille, lorsque l’équivalent de ces peintures guerrières fut la dernière chose que vous aperçûtes avant votre trépas !

        • (HRP : c’est les ûtes :D)

          Effectivement mon brave, vous n’auriez eu aucun mal à me terrasser, j’eusse déjà été par terre à me rouler dans les tripes en demandant grâce. Le rire est un arme assez peu conventionnelle, mais qui vous sied parfaitement, je dois dire. *elle ramène sa bière à elle avec un sourire on ne peut plus narquois*

          Enfin… par amitié je vous suggère tout de même de ne pas sortir d’ici ainsi maquillé : il se pourrait qu’on vous traque pour vos plumes.

  3. Dans la taverne tous y allait, de conseils en brimades, de décoctions en insinuations, les mots fusaient tandis que le bon ecclésiaste levait gentiment les yeux au ciel. Que de candeur, que d’ignorance crasse au sein de cette jeunesse décadente !

    « Allons, allons mes fiFs, taisez-vous donc. Tout comme il n’ya pas de fumée Fans feu, il n’y a pas de boutons Fans femme. » Et de s’adresser à Van, d’un air suspicieux, imbu de Fon Favoir. « Combien de mollets, de Fevilles, de mamelles, de derrières à la dérobée, avez-vous dernièrement observés ? Je gaVe qu’ils Font multitudes ! Et le pauvret Fe demande encore pourquoi il a des boutons… Ah ah ah ! »

      • « Allons donc ! Il n’en est pas de même pour les enfants, qui sont des créatures pures et innoFentes.

        Les femmes aiment à voir autrui sombrer dans le stupre et la concupiFence, alors même qu’elles n’y prennent elles aucun plaisir, puisque Feule la mesquinerie guide leurs pas.

        Nul besoin d’onguents ou de potions, apprenez à bien contrôler votre regard mon fiF et tout ira bien. Croyez-en un homme d‘expérience : en fuyant les croupions -et Fans aucun scrupule- en fuyant les croupion, V‘ai su fuir les puFtules !

        Car comme le diVait Vézus : A trop lorgner petons l’on se choppe boutons ! »

        • *Rire grinçant dans le dos du bonhomme d’église* Il est sûr que c’est l’expérience qui parle! Je gage que vous avez eu vous même quelques poussées de boutons avant de devenir aussi sage…
          Mais n’ayez crainte, il est sur la bonne voix : avec de telles parures, il ne risque pas de voir un téton de sitôt! *la guerrière rote profondément, puis éclate de rire*

  4. *S’étirant de tout son long, puis roulant sur le dos, le petit félin leva une paupière, afin de savoir ce qu’était tout ce vacarme. Après tout, c’est très désagréable d’être réveillée lors de sa septième sieste de la journée.*

    Grand dieu, qu’est-ce donc que ces peintures primitives? Et qui a insulté les points et tâches noires? Un problème contre le tacheté, le blondinet?

    *D’assez mauvaise humeur par son réveil brutale, Xu sautillait devant la porte, prête à en découdre avec le mécréant. Car en matière de pelage tacheté et de caractère fougueux, celui des fauves arrive dans les premiers*

    • *se réveille elle aussi de sa cuite, aux miaulements du félin*

      « Holà dame moustachue, inutile d’essayer, il ne remettra pas un pied dehors avec tout ce qu’il à déjà pris dans la tête! Mais concernant les tâches, la couleur et la forme des vôtres sont plus élégantes que les siennes. »

      *souhaitant décuver en douceur, elle se met à aiguiser sa lame, tout en gardant un œil sur la boule de poils qui se fait les griffes sur la porte*

      « …et le tavernier risque de vous tenir rancune d’abimer ses boiseries. »

      • *L’intéressée, bien que maugréant doucement à l’idée d’être nommée « Dame Moustachu », redressa les oreilles, faisant fit de connaître le ridicule de sa posture, à savoir le corps en oblique, presque à plat ventre sur le sol. Tentait-elle, dans sa juste rage, de pousser la porte de tout son petit corps? Peut-être bien, elle n’en était pas sûre elle-même.
        Quoiqu’il en fut, elle eut néanmoins la grâce de répondre à celui qui l’avait ainsi alpagué.*

         » Dame Guerrière, sachez que j’aurais aisément préféré que vous me nommâtes « Dame Féline » ou encore « Dame Fauve ».
        Toutefois, je goûte au compliment et vous en remercie. Encore que je n’ai pas le pelage des adultes de ma race; mais ce n’est qu’une question de mois je gage! Vous devez être une grande voyageuse, qui a pu admirer milles belles choses pour ne pas confondre mes motifs avec ceux de chats de gouttières mal-famés. Pauvres cousins…. »

        *Petite Lady repris une meilleure position, s’allongeant devant le panneau afin de bloquer toutes tentatives de sorties. Si le couard ne voulait pas l’affronter, alors ne sortirait-il pas du tout, au moins pour le temps que les humeurs de la dame animale se calment.*

        « Quant au tenancier de l’auberge, il ne me fait guère peur. Déjà faudrait-il qu’il m’attrape, ensuite qu’il exige un quelconque remboursement de ma part. J’ai déjà du mal à comprendre vos notions d’argent, alors en avoir sur moi, qu’il essaye. Et j’ai dans l’idée qu’on le prendrait pour fou si on le voyait passer ses ires sur ma personne. Toutefois, je prend bonne note de votre conseil et ne m’y risquerait plus.
        A la place, comme les Sphinx des lointains pays, je me tiendrais là, gardienne silencieuse et immobile, afin que nul ne passe cette porte. »

        *Elle cracha dans ses moustaches la dernière phrase, pleine de rancoeur, que la guerrière put entendre presque comme une confidence*

        « Et ça lui apprendra, à l’autre empaffé, à me réveiller… »

        • Intrigué par les épithètes lancés contre sa blondeur âpretonne, Van glissa un œil derrière sa porte. « Ah, songea-t-il, c’est encore l’autre tarée qui se prend pour un greffier… Décidément, elle est partout ! »

          Il referma la porte, songeant par là même aux civets de chat qu’on lui servait au château du Grand Chêne lorsqu’il était jeunot. La follette n’aura pas gagné son attention, mais au moins, elle lui aura rappelé quelques plaisants souvenirs culinaires.

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