5 réflexions au sujet de « La fille du puisatier »

  1. Oh ! Un bébé ! Cela me donne envie d’écrire une chanson :
    Doiiiing (c’est un luth…)
    « Blondinette aux yeux bleutés,
    Orpheline mais adoptée,
    Faust et Van s’en vont garder,
    Cette petite chose aux couches gâtées… »
    Didoudidadoum (ça c’est pas un luth)

    • VOUS ! C… C’EST VOUS ! Saltimbanque de mauvaise augure ! Vilain musicien ! A cause vous j’ai passé l’une des pires soirées de mon existence ! Obligé de fuir par les latrines -une fois de plus- ! Laisse-moi vous apprendre une ritournelle âpretonne dont vous me direz des nouvelles… Massacreur d’oreille ! Amphion du diable !

      • Mais enfin, calmez-vous donc mon cher ami ! Il n’est pas de mon fait que vous ayez choisi un compagnon adepte de bon breuvage et fort généreux envers son prochain… Au moins, ça aura été une des rares soirées où je n’aurais pas rincé toute l’assemblée de liquide, mais uniquement de musique ! Revenez à l’occasion..!

        • HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !
          C’EST GEWUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUURZT ! RAAAH ! Rincez-moi de liquide, n’importe lequel !

          *arrache le décolleté de son chemisier en lin, affichant une petite poitrine naissante couverte de taches de rousseur*

          • Voyons gente demoiselle, ce ne sont point des manières de faire et de dire devant une fillette et…ses deux papas ? *décoche un grand sourire légèrement moqueur aux deux pères susmentionnés*

            Venez donc avec moi très chère, derrière ces quelques arbres, afin que nous puissions voir si nous nous y trouvons… Je vous chanterai quelques belles mélodies de mon cru, et peut-être cela nous mènera-t-il vers d’autres horizons poétiques ? *entoure les épaules de la groupie de son bras libre – l’autre tient le luth, évidemment – et l’entraine, avec un clin d’oeil, vers le bosquet*

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