Je dédie cet épisode à la Taverne du Troll Farceur, à Rennes, qui vient récemment de fermer ses portes et devant lesquelles nous avons en grande partie écrit ces aventures autour d’une bouteille de Tisquin. Repose à jamais dans nos cœurs épicuriens. ♥
Noë
Un épisode tout en finesse ! Y en a qui en avaient plein les molaires, le problème va être vite réglé à grands coups de maillet…
ps : le Troll Farceur a fermé ? Damned…
La concupifence mes enfants est mère de tout les vifes. Il y a feux que la lumière du foleil éclaire et feux qu’elle trouble. Repentez vous fombres péfeurs, repentez vous car comme divait Vézus : « A trop vouloir traire fa femme on en récolte que le fiel. »
Oh vous, taisez-vous…
Saluons donc la « mère nourricière » et prions qu’elle ai assez de pitié pour ne pas renvoyer nos héros dans leurs latrines sultanesques x)
J’arrive pas à bosser avec la chanson du troll farceur dans la tête. Ça m’apprendra à trainer sur votre blog en début de journée…
Alors que moult vautours voltoyaient dans le ciel, guettant l’instant idéal pour se repaître de chair fraîche, nos deux compères, tout de bouse vêtus, dévalaient les dunes de sable brûlant, à la recherche d’un salut éventuel.
C’est alors qu’un oasis sauvage apparût…
Sûrement l’un des meilleurs épisodes à mon goût !
Oui, j’en suis également convaincu. Il me plaît beaucoup aussi. 😀
[hrp – RIP le Troll 😦 – hrp]
Comme les couilles d’un pape, vous dites ? Et comment !
*puis, d’un air docte, sirotant son hydromel*
Comme disait mon père en regardant la laitière :
Illa domina duos habet, et bene pendantes !
Baste ! Voyez comme la dame ici s’y connait bien en colifichets qui pendouillent…
Vezus gratias !
Barbus… Assoiffés et voulant vider moult tonnelets… Ils ne sont pas si squelettique que ça mais ma foi, je devrais penser à me reconvertir dans la voyance!
Quoiqu’il en soit, j’avoue ma hâte de voir comment la donzelle réagirait à ces comportements de sauvages (d’autres terres qu’elle). Vu comme elle enserre son arme, je crois déjà connaître l’issue.
Voyante vous dis-je!
Nous ne sommes point famélique car, contre toute attente, le Shah ne tenait pas à ce que l’on meurt trop vite. Il nous gavait donc de bouillie dont la consistance rappelait de façon troublante nos tâches ménagères, mais qui avait comme point positif le fait de nous tenir relativement bien à la panse…
Voyante ? ! Voyons vous vous perdez ma pauvre enfant ! Feul Vézus voit, les autres regardent ; feul Vézus entends, les autres écoutent ; feul Vézus crie, les autres agonivent !
Poin poin poin pooiiiiinnnn…
Mmmmh…
*Recrache un bout*
Le Père Niffieux n’a pas bon goût. Du tout du tout.
Diantre, il n’y a clairement pas que nos têtes que le soleil a pris d’assaut… Voilà que cette enfant mâchonne l’autre Loin-du-ciel…
Merci Noë d’avoir censuré la fin de cette BD, j’aurais trouvé ça très gênant que tu montres comment Van a essayé d’aspirer l’humidité d’un « bambou » placé derrière le « palmier »
Moi je ne fais rien, c’est Faust le spécialiste des fluides du désert.
Faust d’Orthograf, chasseur de dragon céleste, terreur des mers du nord, plaie des taverniers et spécialiste des fluides du désert. Sacré CV !
Y’a « Mangeur d’Ogresse » aussi, dans le lot.
Je demande la fin non censurée. Par curiosité. POUR LA SCIENCE! Et les guépards.
Vous avez un chat noir sur votre sac Messir Charleston! Vous ne pouvez pas refuser ceci à une soeur féline!
Mdr, elle est absolument géniale celle-ci !! Sans doute une des plus drôle !
Merci ^^ !