Dis-moi oui, Nini !

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Bien entendu, vous pouvez aussi commenter normalement. Vous êtes libres ! Nous le sommes tous ! Vive les poneys, les licornes, les lapins, les Bisounours, Nicolas et Pimprenelle, voire même Casimir qui fait la teuf avec Babar, Henri Dès, Émile Louis (vu que personne lis ça, je peux mettre toutes les horreurs que je veux…) et Chantal Goya !

4 réflexions au sujet de « Dis-moi oui, Nini ! »

  1. A en voir l’apparence de la belle contrariée,
    C’est un mauvais quart-d’heure que Van s’en va passer,
    A grands coups de marteau Nini lui apprendra,
    Que les femmes sont violentes, aussi belles qu’elles soient.

  2. *Changement de masque de perso, une fois n’est pas coutume. C’est un homme de grande stature (et il a autre chose de grand… vous ne deviNEZ pas ?) qui accourt dans la nuit*

    « Tourmente-t-on ainsi une âme délicate ?
    Donne-t-on le bâton, à une jolie chatte ?
    Je suis le Sire Hanneau, et solennellement,
    aux goujats, aux menteurs, fi ! Je jette mon gant. »

  3. *Du haut des toits, notre belle félin devenue grande jette, un coup d’oeil à l’étrange scènette qui se déroule plus bas. Elle penche un peu plus le museau par dessus le rebord d’eau, voyant un brigand charmant, une guerrière aux drôles d’airs et un homme embêté au long nez.
    Quelle drôle de vie qu’on a lorsqu’on n’est point chat!*

    – Dis donc du dessous,
    Pourquoi tant de vers?
    Un mage aux genoux mous,
    Vous a-t-il, naguère,
    Jeté quelques sorts
    Fort troublant ma foi,
    Vous obligeant, vous et consorts,
    A parler comme ça?

    Moustaches et Mazettes!
    C’est fâcheux,
    C’est curieux!
    Comme une Crêpe Suzette,
    Cette drôle de curieuse maladie,
    Se partage entre étrangers et amis!

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