31 réflexions au sujet de « Démons et merveilles »

  1. Pauvre Faust, c’est ça d’avoir les doigts boudinés ! ^^
    Une bonne référence, un gag simple et efficace, des ragots de taverne, que demander de plus ?

    Sinon « on conte », à la place de « on compte ».

    • « Le livre des vertus ? Pardieu ! Ne me dites pas que vous ne l’avez vamais lu, mon fils ? ! Il f’agit d’une annexe du livre des hérétismes, fans doute est-ce pour fa que vous ne l’aviez vamais remarqué.

      Enfin bon, v’en ai là une verfion de poche pour les bevoins. Il y a à l’intérieur un prodivieux QCM qui vous permet de reconnaître un démon sans la moindre hésitation ! Mais achetez vous plutôt un livre des hérétismes que vous couplerez avec le livre des miracles, se fera bien plus complet et vous pourrez dénicher les hérétiques en trois coups de cuillère à pot !

      Vous en trouverez dans tous les bons offices ou finon à la grande bibliothèque de Vézuzalem où ils sont ornés de moult pierreries. »

  2. *Fronce les sourcils après explication et réflexion.* N’empêffe, ve ne sais pas fe que vous en pensez, mais on ne m’enlèvera pas de l’idée que cette hiftoire est troublante. Vous êtes sûr que vous ne vous n’avez pas trempé dans quelques maléfifes ? Y-a t’il un gros œil rouge dans le ciel qui vous suit du regard depuis fet événement ?

    Pardieu ! Et tout fes pécores qui nous v’attendent dehors fourche à la main ! Tout le monde ifi semble maintenant convaincu de votre bonne fois, mais eux… EUX… Ne vont-ils pas nous prendre pour fible également ? ! Rhaaaa ! Ve conspire avec des hérétiques, ma carrière est fifue ! Dévà sonne le glas de notre mort à tous et de notre damnafion éternelle, ne l’entendez vous pas ? ! *bouhouhou fnif….*

    • Du calme petit homme ! Ce n’est pas la première fois -ni la dernière d’ailleurs- que Faust nous met dans l’embarras avec ses frasques. Vous nous auriez vu la fois ou…

      Non, rien.

      Bref, il suffit juste de trouver quelqu’un pour lui enlever ce fichu anneau et le tour est joué. Ceci fait, comptez sur moi pour nous en débarrasser de façon radicale !

  3. « Peuh, tant que crainte pour quelque objet magique ! Votre nain criard brasse-t-il toujours autant d’air en apercevant son ombre ? Par chez moi, objet magique veut dire mage ou sorcier. L’un ou l’autre se terre dans les terres hautes ou profondes, au fond d’un grotte ou dans une gargote pourrie qui ne résiste bien souvent à aucun crochetage, si tenté qu’il soit fait par une professionnelle ! La dernière fois qu’un individu a voulu joué les hommes invisibles, c’est bien simple…on ne l’a plus jamais revu. Au sens propre. Et figuré »

    • Fort heureusement, Faust est quelqu’un de plutôt… repérable. Même invisible il sait se faire entendre. J’ai bien failli le paumer une ou deux fois depuis l’incident, mais l’un dans l’autre, il a toujours réussi à se rappeler à mon bon souvenir.

    • Roh ! Ça va, fais pas ta mijaurée !

      Bon, c’est pas tout ça, mais il faut que quelqu’un aille parlementer avec la plèbe furieuse dehors. Toi Faust, il va sans dire que tu ne bouges pas tes miches d’ectoplasme d’ici… Moi, je suis démoniaque à leurs yeux… Charleston n’est jamais là quand il faut, Dame Athanasia est en cure aux sources des Monts Cussay-Dupoulay… Il ne reste guère que l’ecclésiaste mais quelque chose me pousse à croire que ce n’est pas une bonne idée.

      MORDIABLE QUE JE DÉTESTE CETTE PATHOLOGIE TENACE QUE TU AS DE RAMASSER TOUT ET N’IMPORTE QUOI POUR TE L’ENFILER SANS RÉFLÉCHIR !

  4. *se secoue l’oreille en grimaçant* un autre braillard ! Décidément, c’est un miracle que vous soyez encore en un seul morceau, entre un nain, un…malodorant et un fantôme. Serais-je croyante que je pourrai y voir là l’humour caustique des dieux. Ou l’effet trop prononcé de ma bière ! Je penche pour la bière.

      • Ne cherchez pas plus loin. Ils vous ont suivi par les effluves que vous dégagez. Peut-être arriverez-vous à étourdir la populace en manque de sang en leur jetant vos braies tachées, qui sait !. Si c’est le cas, je veux être au premier rang ! Ne serait-ce que pour pouvoir en témoigner. Mais à bonne distance.

  5. Alors qu’il était attablé au fin fond de la taverne, en train de déguster une des spécialités du chef, un breuvage qui à la première gorgée pourrait semblé étrange car inconnu, mais au final, Kao en était à son second verre. Mais alors qu’il terminait sa boisson aromatisée, à quoi donc?, il irait surement le demander plus tard au gérant, mais il fut estomaqué par la situation.
    Il avait quelque peu entendu ses voisins qui critiquaient un client de l’aubergiste, mais quand il tourna son regard vers lui, il vit des objets volés. Il ne pu se retenir et recrachant une bonne partie du contenue de sa bouche.

    Que faire? L’approcher pour découvrir la supercherie, ou rester eloigner pour eviter les foudres de démons. En tout cas tout ceci l’intéresser. Et il décida de rester quelque peu pour voir comment tout ceci allait évoluer. S’il fallait il les suivrait un peu…

    -*Je ne pourrais pour sur pas jurer du stratagème employé par ce voyageur mais si cela n’est pas d’origine démoniaque, je dois connaitre l’astuce*…

    (Bravo pour cette histoire et pour l’ambiance, on s’y croirait ^^)

  6. *observe tout ce beau monde s’agiter, chopine en main, une table plus loin* Mais enfin, pourquoi tant de cris? Coupez son doigt, qu’on en finisse! La dernière fois qu’il y a eu un cas de ce genre, ça a marché. Vérifiez juste que vous coupez le bon, comme on n’y voit goutte…

    • Voyez-vous, cette solution m’a déjà traversé l’esprit. Mais comme mon ami ici présent est on ne peut plus coquet, il tuerait celui qui le prive de l’un de ses abattis, aussi petit soit-il. Ajoutez à cela -et ça me coûte de le reconnaître, croyez-moi- qu’il est meilleur escrimeur que moi, je n’me risquerais pas à ce genre d’aventure.

      Je vous déconseille donc tout mouvement brusque, comme en prime on ne peut déceler ses réactions… HEIN, MON COCHON ?

      • Ah, je vois… Mais à ses mouvements discrets, et pour éloigner toute idée de sorcellerie, il y a également une solution : couvrons-le de vinasse, ou bien d’encre, et la populasse en rogne croira à un larron fin saoul. Et cela coûte toujours moins qu’un doigt! En prime, on aura le bon goût d’éloigner cette odeur. *jette un œil en coin à la dame écœurée*

      • Parbleu! Mais ils sont à deux doigts de me couper les miens! Gare à vous, ou il vous en cuira! Si vous pensez que je vous laisserais faire sans bouger l’auriculaire, vous vous le carrez dans l’œil! J’ai à mes côtés une alliée tranchante qui saura me donner un coup de pouce…

        • Ne vous tourmentez pas, si cela vous en coûte, ce n’est pas moi qui vais vous… euh, attendez… où êtes-vous? là? Bref. Si vous m’en croyez, aspergez-vous de l’encre que Messire l’ecclésiaste doit avoir en son escarcelle. Ou sortez par derrière, à ma suite! Sur ce, je vous laisse, et je file à la bretonne! *claque quelques piécettes sur la table, et se lève, contournant largement l’invisible bonhomme pour atteindre le fond de la salle*

          • *A lui-même*

            « A la bretonne ? » Je connaissais bien l’expression « à l’Âpretonne », mais pas cette dérivation… Bref…

            *plus haut*

            Hé ! Ne croyez pas vous enfuir avec mon larbin tout de même !

  7. *déguste sa chope en suivant cet étrange spectacle d’un regard fatigué* les udes vont sonner, il n’est guère tant que tenter une sortie. Remarquez, peut-être qu’une flammèche délivrée des torches brandis par nos gueux effrayés finira par éclairer l’un ou l’autre postérieur et donner un nouveau sens à ce sort d’invisibilité ! Quoiqu’il en coute, apparence claire doit-il retrouver, car au bucher pourriez-vous bien finir. Le peuple dans ses superstitions n’est pas tendre avec les maléfices…les murmures de l’auberge ne font que s’accentuer depuis le début de cette conversation, et le nombre de chope bue dans le vide aiguisent toujours plus leur imagination. Je doute que votre amie même bien aiguisée, ne parvienne à vous sauver dans cet…état.

  8. Il suffit de savonner l’auriculaire, déboîter les phalanges, faire glisser l’anneau, me le donner, et remboîter les phalanges. Nos femmes font ça. Elles parviennent même à se sortir de leur ceinture de chasteté.

  9. Pas de quoi pour l’idée, vous en avez fait un épisode excellent =D

    Désolé de ne pas participer à votre discussion si bien entamée, mais je n’ai que très peu de temps sur internet donc je vais à l’essentiel.

    Vivement le prochain !

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